A partir de demain, les radars calculent votre vitesse moyenne
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A partir de demain, les radars calculent votre vitesse moyenne
Le premier radar mesurant la vitesse moyenne va être installé dans le Doubs à côté de Besançon. Contrairement aux radars qui existent actuellement, ils ne flashent pas à un point fixe mais vérifie la vitesse moyenne sur une portion plus longue.
D'ici la fin de l'année, une quarantaine de ces radars d'un nouveau genre vont être installés. Pour le premier ce sera demain dans le tunnel de Beure situé sur la RN57 qui contourne Besançon ; Les autres seront également positionnés sur des portions de route où la vitesse est particulièrement dangereuse. Tunnels, ponts, succession de virage ou rétrécissement de voies.
Le principe de fonctionnement de ces radars est finalement simple. Avec une caméra infrarouge, ils relèvent le numéro de la voiture à l'entrée de la zone à risque et l'heure d'entrée, à la seconde près. Une deuxième caméra relève les mêmes informations à la sortie de la zone. À partir de ces données, l'ordinateur calcule la vitesse moyenne et vérifie qu'elle ne dépasse pas les limitations, sinon c'est la sanction.
Une période de test avant les sanctions
Pour la sécurité routière, ce dispositif présente un avantage certain, en luttant contre le comportement dangereux de certains conducteurs. À l'approche d'un radar traditionnel, ils sont nombreux à freiner brusquement avant d'accélerer tout aussi brusquement après l'avoir dépassé.
Pour le moment, ce premier radar, puis les suivants installés dans une semaine en Loire-Atlantique ne verbaliseront pas les chauffards. Selon la Sécurité routière, il va d'abord y avoir une période de test. Les sanctions, amendes et retraits de points ne tomberont qu'au mois d'août.
Source France Info
D'ici la fin de l'année, une quarantaine de ces radars d'un nouveau genre vont être installés. Pour le premier ce sera demain dans le tunnel de Beure situé sur la RN57 qui contourne Besançon ; Les autres seront également positionnés sur des portions de route où la vitesse est particulièrement dangereuse. Tunnels, ponts, succession de virage ou rétrécissement de voies.
Le principe de fonctionnement de ces radars est finalement simple. Avec une caméra infrarouge, ils relèvent le numéro de la voiture à l'entrée de la zone à risque et l'heure d'entrée, à la seconde près. Une deuxième caméra relève les mêmes informations à la sortie de la zone. À partir de ces données, l'ordinateur calcule la vitesse moyenne et vérifie qu'elle ne dépasse pas les limitations, sinon c'est la sanction.
Une période de test avant les sanctions
Pour la sécurité routière, ce dispositif présente un avantage certain, en luttant contre le comportement dangereux de certains conducteurs. À l'approche d'un radar traditionnel, ils sont nombreux à freiner brusquement avant d'accélerer tout aussi brusquement après l'avoir dépassé.
Pour le moment, ce premier radar, puis les suivants installés dans une semaine en Loire-Atlantique ne verbaliseront pas les chauffards. Selon la Sécurité routière, il va d'abord y avoir une période de test. Les sanctions, amendes et retraits de points ne tomberont qu'au mois d'août.
Source France Info
Polémique : les radars-tronçon ne seraient pas en état de verbaliser !
Alors que la Sécurité routière a annoncé l’installation d’un premier radar-tronçon dans le Doubs, info relayée par nombre de médias, on apprend que ces appareils ne seraient pas en état de verbaliser. Ils ne sont pas homologués !
Les radars-tronçon sont déjà au cœur d’une polémique : pourquoi commencent-ils à être installés, alors qu’ils ne sont pas homologués ? A l’origine de cette interrogation, Auto Plus.
Dans son édition du 11 juin, l’hebdomadaire signalait que les radars-tronçon connaissaient des problèmes à l’allumage, leur fabricant, Morpho (ex-Sagem Sécurité), ne parvenant pas à remplir le cahier des charges lié à leur homologation. Et le Canard de l’auto d’expliquer, que la Sécurité Routière aurait contraint ce fabricant à assumer ses obligations contractuelles (homologation avant l’été) sous peine de fortes pénalités (10.000 euros par semaine)…
Contre-attaque médiatique.
Le 19 juin, huit jours après la parution de l’article dans Auto Plus, la Sécurité Routière envoyait à toutes les rédactions un communiqué de presse annonçant l’installation des trois premiers radars-tronçon de France, dans le Doubs donc, mais aussi en Loire-Atlantique et dans le Lot-et-Garonne.
Gagner du temps.
Dans son édition du 25 juin, Auto Plus persiste : l’homologation n’est pas encore en vue… Un article explique que ces radars sont déployés au forceps, et que la Sécurité Routière tente de gagner du temps. Installé en juin, l’appareil du Doubs ne fusillera les automobilistes, sans flash mais avec des PV automatiques, que fin août. Ce délai de six semaines pourrait permettre au fabricant de régler ses appareils, afin de réussir à les homologuer, enfin…
Modification de l’homologation ?
Ou alors, ce délai pourrait permettre de faire pression sur l’organisme certificateur. Cette hypothèse, Auto Plus n’hésite pas à la rédiger noir sur blanc : « l’organisme chargé de certifier le radar-tronçon aurait été prié de calmer ses ardeurs en jouant davantage sur les marges de tolérance (sans remettre en cause, néanmoins, celles définies dans le cahier des charges). Ainsi, ça devrait passer… »
source MotoMag
Les radars-tronçon sont déjà au cœur d’une polémique : pourquoi commencent-ils à être installés, alors qu’ils ne sont pas homologués ? A l’origine de cette interrogation, Auto Plus.
Dans son édition du 11 juin, l’hebdomadaire signalait que les radars-tronçon connaissaient des problèmes à l’allumage, leur fabricant, Morpho (ex-Sagem Sécurité), ne parvenant pas à remplir le cahier des charges lié à leur homologation. Et le Canard de l’auto d’expliquer, que la Sécurité Routière aurait contraint ce fabricant à assumer ses obligations contractuelles (homologation avant l’été) sous peine de fortes pénalités (10.000 euros par semaine)…
Contre-attaque médiatique.
Le 19 juin, huit jours après la parution de l’article dans Auto Plus, la Sécurité Routière envoyait à toutes les rédactions un communiqué de presse annonçant l’installation des trois premiers radars-tronçon de France, dans le Doubs donc, mais aussi en Loire-Atlantique et dans le Lot-et-Garonne.
Gagner du temps.
Dans son édition du 25 juin, Auto Plus persiste : l’homologation n’est pas encore en vue… Un article explique que ces radars sont déployés au forceps, et que la Sécurité Routière tente de gagner du temps. Installé en juin, l’appareil du Doubs ne fusillera les automobilistes, sans flash mais avec des PV automatiques, que fin août. Ce délai de six semaines pourrait permettre au fabricant de régler ses appareils, afin de réussir à les homologuer, enfin…
Modification de l’homologation ?
Ou alors, ce délai pourrait permettre de faire pression sur l’organisme certificateur. Cette hypothèse, Auto Plus n’hésite pas à la rédiger noir sur blanc : « l’organisme chargé de certifier le radar-tronçon aurait été prié de calmer ses ardeurs en jouant davantage sur les marges de tolérance (sans remettre en cause, néanmoins, celles définies dans le cahier des charges). Ainsi, ça devrait passer… »
source MotoMag
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